Plan Climat Énergie Territorial 2024-2029 : une approche intégrale pour toutes les politiques de Grand Besançon Métropole

EN BREF Adoption du Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET) lors du conseil du 26 septembre 2024. Document réglementaire définissant une feuille de route pour la transition écologique. Objectif de devenir un territoire à énergie positive d’ici 2050. Intégration des avis issus de la consultation publique de 2024. Économie circulaire et résilience face aux risques climatiques renforcées. Environ 40 actions concrètes pour répondre aux enjeux locaux. Alignement des buts avec le reste des politiques de Grand Besançon Métropole. Engagement sur un bilan carbone et amélioration continue de la qualité de l’air.

Le Plan Climat Énergie Territorial 2024-2029 de Grand Besançon Métropole se présente comme un projet ambitieux et essentiel pour l’avenir écologique de la région. En intégrant toutes les politiques de la collectivité, ce plan vise à structurer une approche intégrale pour répondre aux défis croissants liés au changement climatique. Il s’inscrit dans une dynamique de transition écologique nécessaire, en engageant l’ensemble des acteurs du territoire afin de favoriser un avenir durable et résilient. Cette feuille de route se veut une réponse proactive et adaptée aux enjeux climatiques contemporains, en plaçant l’efficacité et la cohérence au cœur de ses actions.

Le Plan Climat Air Énergie Territorial : une stratégie pour l’avenir

Le Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET) 2024-2029 de Grand Besançon Métropole représente une initiative cruciale pour la transition écologique de la région. Ce document réglementaire sert de feuille de route pour la collectivité, définissant des objectifs stratégiques et opérationnels en matière de réduction de l’impact environnemental et d’adaptation face aux enjeux climatiques. En effet, le PCAET s’inscrit dans une démarche entamée en 2018-2019, où un premier projet avait été élaboré, et qui a depuis été mis à jour pour répondre aux nouveaux défis écologiques.

Dans le cadre de cette mise à jour, des objectifs ambitieux ont été ajoutés, tels que la résilience face aux risques climatiques et l’engagement vers une économie circulaire. Par exemple, la collectivité se fixe comme but de devenir un territoire à énergie positive d’ici 2050, tout en renforçant les puits de carbone naturels comme les forêts. Cela nécessite l’implication active des divers acteurs locaux, allant des administrations publiques aux citoyens, afin de garantir la cohésion de l’ensemble des politiques publiques avec ces objectifs environnementaux. Au cœur de cette initiative se trouve la conviction que chaque décision et budget doit soutenir cette ambition collective, plaçant la durabilité au centre des préoccupations locales.

Le Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET) 2024-2029 : Une feuille de route stratégique

Prévu pour adoption lors du conseil communautaire du 26 septembre 2024, le Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET) de Grand Besançon Métropole trace une feuille de route ambitieuse en matière de transition écologique pour la période 2024-2029. Ce document réglementaire fixe des objectifs stratégiques et opérationnels, qui visent tant à atténuer le changement climatique qu’à s’y adapter. Initié en 2018-2019, le PCAET a déjà été l’objet d’une première validation avant d’être enrichi à la lumière des évolutions écologiques actuelles. Plus qu’une simple mise à jour, la version actuelle renforce l’ambition de faire de Grand Besançon un territoire à énergie positive d’ici 2050, tout en intégrant des éléments essentiels tels que la résilience face aux risques climatiques et l’engagement dans l’économie circulaire. Par exemple, dans le domaine de la consommation énergétique, l’objectif de réduction de 50% de la consommation d’énergie d’ici 2050, couplé à une multiplication par 8,6 de la production d’Énergie Renouvelable, illustre la volonté de transformer les défis environnementaux en véritables opportunités. La perspective des acteurs locaux, qui inclut des entreprises, des associations et des citoyens, est primordiale pour la réussite du plan, favorisant ainsi une mobilisation collective autour des enjeux stratégiques du PCAET.

Il est essentiel d’évaluer également l’impact social et économique de ce plan. La transformation écologique ne se limite pas à des objectifs environnementaux, mais doit aussi engendrer des bénéfices pour la communauté. Les projets liés au PCAET peuvent ouvrir la voie à de nouvelles opportunités économiques, notamment dans les secteurs des énergies renouvelables et de l’amélioration de la qualité de l’air. En valorisant les ressources locales et en impliquant les habitants dans cette dynamique, le Grand Besançon démontre qu’il est possible de concilier progrès économique et préservation de l’environnement, apportant ainsi une réponse locale aux enjeux globaux du climat. Cette approche intégrée, qui réunit les diverses parties prenantes autour d’une vision commune, est une caractéristique essentielle pour garantir le succès à long terme de ce plan ambitieux.

Le Plan Climat Énergie Territorial de Grand Besançon Métropole

Une feuille de route pour la transition écologique

Lors de la prochaine session du conseil communautaire, prévue le 26 septembre 2024, les élus de Grand Besançon Métropole seront appelés à se prononcer sur le nouveau Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET) pour la période 2024-2029. Ce document, essentiel pour la transition écologique, définit des objectifs clairs pour atténuer les effets du changement climatique et permettre au territoire de s’adapter aux évolutions environnementales.

Le PCAET a été élaboré suite à un processus débuté en 2018, rassemblant des informations et des retours d’expérience sur les enjeux locaux. Le plan a pour ambition de transformer Grand Besançon en un véritable territoire à énergie positive d’ici 2050, tout en intégrant des objectifs spécifiques liés à la résilience face aux risques écologiques.

• Économie circulaire: Renforcement des pratiques permettant de réduire, réutiliser et recycler les ressources sur le territoire.
• Sauvegarde des puits de carbone: En mettant l’accent sur la préservation des forêts et des espaces naturels, il devient crucial de maintenir les capacités de séquestration du carbone.
• Mobilisation des acteurs locaux: Foster la participation de tous les acteurs (citoyens, entreprises, associations) dans la conception et l’exécution des actions du PCAET.
• Amélioration de la qualité de l’air: Réduction significative des émissions de polluants pour assurer une meilleure santé et qualité de vie pour les habitants.

Pour mieux structurer cette démarche, le PCAET s’appuie sur une stratégie comprenant 40 actions concrètes, avec un suivi rigoureux pour mesurer leur impact. Cette approche est essentielle pour garantir que chaque initiative soit non seulement mise en œuvre, mais également ajustée en fonction des résultats observés. À cet égard, le 100% du budget de la métropole est orienté vers l’efficacité du plan.

Le Plan Climat Énergie Territorial 2024-2029 de Grand Besançon Métropole

Lors du conseil communautaire prévu le 26 septembre 2024, les élu(e)s de Grand Besançon Métropole se prononceront sur l’adoption d’un nouveau Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET). Ce plan, qui constitue la feuille de route pour la transition écologique sur le territoire, a été élaboré suite à une démarche initiée en 2018-2019, visant à définir des objectifs clairs pour atténuer le changement climatique et s’y adapter.

Le PCAET vise à concrétiser l’ambition de devenir un territoire à énergie positive d’ici 2050, en intégrant des objectifs liés à la résilience face aux risques environnementaux, à l’économie circulaire, à la préservation des puits de carbone et à une mobilisation accrue des acteurs locaux. Ce projet a été actualisé pour répondre aux défis écologiques croissants et inclut les retours de la concertation publique réalisée en 2024.

Objectifs et Stratégies à Venir

Pour réaliser ces objectifs, la stratégie de la collectivité repose sur quatre ambitions principales déclinées en 40 actions concrètes. Parmi celles-ci, il est crucial de réduire de moitié les consommations d’énergie d’ici 2050 et d’augmenter significativement la production d’énergie renouvelable. La préservation des ressources naturelles et l’amélioration de la qualité de l’air constituent également des priorités, visant une réduction de 80 % des polluants de l’air par rapport aux niveaux de 2008.

Budget et Engagements

Concernant le budget, il a été affirmé que 100% des politiques de la métropole s’alignent sur les objectifs du PCAET, ce qui signifie que chaque dépense publique soutiendra cette transition écologique. Un exemple de projet en cours est un budget de 280 millions d’euros alloué à un plan mobilité, exprimant ainsi la volonté d’adopter des mesures concrètes face aux exigences contemporaines.

Enfin, le PCAET ne sera pas seulement un document théorique, mais s’accompagnera d’un processus de suivi-évaluation rigoureux, assurant que les engagements pris soient effectivement mis en œuvre et respectés dans le cadre d’une contractualisation avec l’Ademe.

Le Plan Climat Énergie Territorial 2024-2029 : une stratégie indispensable pour Grand Besançon Métropole

Le Plan Climat Énergie Territorial (PCAET) pour la période 2024-2029 représente un engagement fort de Grand Besançon Métropole envers la transition écologique. En intégrant des objectifs ambitieux liés à l’atténuation du changement climatique et à l’adaptation aux nouvelles réalités environnementales, ce plan se veut être la feuille de route d’une collectivité qui aspire à devenir un territoire à énergie positive d’ici 2050.

L’approche intégrale mise en avant par le PCAET englobe la mobilisation des acteurs locaux, la réduction des consommations énergétiques et l’amélioration continue de la qualité de l’air. En tenant compte des enjeux déjà présents tout en innovant avec des actions concrètes, le Grand Besançon se positionne comme un exemple à suivre dans le domaine du développement durable.

En définitive, la mise en œuvre de cette stratégie nécessitera une coopération étroite entre les différentes parties prenantes. Cela soulève également la question de la responsabilité collective face à l’urgence climatique et met en lumière l’importance de chaque action, qu’elle soit individuelle ou institutionnelle, pour façonner un avenir durable.